Jeudi 11 novembre, 17h30 à l’Institut français de Lituanie (Didžioji g.1, Vilnius). Voyage en Papouasie-Nouvelle-Guinée, le long du fleuve Sepik, par Nicolas Garnier, responsable de la collection Océanie au musée du quai Branly – Jacques Chirac de Paris.
En français avec traduction en lituanien.
Le Sepik aujourd’hui
Le musée national des Beaux-arts de Lituanie a bénéficié d’une donation d’une importante collection d’objets récemment créés sur le Sepik, un des plus longs fleuves du Pacifique. Cette composante de la collection nous invite à nous pencher sur cette vaste et complexe zone géographique située au nord de la Papouasie-Nouvelle-Guinée. L’anthropologue britannique Marilyn Strathern déclarait lors d’un séminaire que les sociétés de cette région étaient parmi les plus complexes du monde.
Cette présentation permettra d’évoquer cette zone culturelle où on y parle plus de cinquante langues différentes et où on y a produit parmi les plus grands chefs-d’œuvre des arts non-occidentaux. Nicolas Garnier a passé plusieurs années dans cette région et y a mené de nombreux programmes de recherche en collaboration avec de jeunes chercheurs mélanésiens et des représentants de communautés locales.
Nicolas Garnier est anthropologue, responsable de l’unité Océanie au Musée du quai Branly – Jacques Chirac.
Type d’objet d’exposition : | Sculpture rituelle | |
Auteur : | Tribu papoue | |
Nom : | Déesse de la fécondité | |
Date : | Seconde moitié du XXe siècle | |
Lieu de création : | Cour moyen du Sepik, province du Sepik oriental, Papouasie-Nouvelle-Guinée, Mélanésie, Océanie | |
Matière : | bois, argile, cheveux, fibres, coquilles | |
Technique : | ciselage, incrustation |